Mon expérience est assez diversifiée. Pendant mes études, j’ai travaillé dans une agence de publicité et dans la restauration. J’ai fait un master en apprentissage dans le tourisme à l’université de Lille pendant lequel je travaillais pour la Métropole Européenne de Lille dans le service écriture. Ensuite, je me suis lancée en tant qu’auto-entrepreneuse pour l’association Grand 8 pour faire des tours guidés à vélo. Et enfin, je me retrouve en tant que Chargée d’Assistance Client pour Cotton Bird.
J’étais venue en 2015 pour une année d’Erasmus et j’étais repartie pour finir ma licence. Je suis revenue pour un master en 2017. J’avais encore 2 ans d’études et, finalement, comme j’avais la proposition de prolongation de mon contrat à la Métropole Européenne de Lille, je suis restée.
Je recherchais normalement dans le domaine de la culture et du tourisme. J’avais la problématique que beaucoup de postes m’intéressaient fortement, mais étaient liés à la fonction publique. Ensuite, la crise COVID est arrivée pile au moment où je terminais mon contrat, ce qui a limité les recherches.
Les entretiens étaient par visio. Je n’avais pas l’habitude en Allemagne, mais peut-être que c’était dû à la crise COVID. J’ai également eu un entretien de groupe, avec une dizaine de personnes. Je ne connaissais pas.
Margaux m’a contactée via LinkedIn pour me proposer cette annonce de chez Cotton Bird, en me disant que ça pourrait m’intéresser. Le jour même, elle m’a appelée pour pouvoir échanger à l’oral et je décrochais un entretien la semaine suivante ! C’était très rapide et ça tombait surtout au bon moment : c’était vraiment une annonce qui correspondait à mon profil. Tout le suivi était très appréciable aussi. J’ai commencé ce travail début mars et dès la première semaine je recevais un appel de Margaux pour me demander comment s’était passé ma première journée. Elle m’a informée qu’il y aurait encore un suivi de votre part par la suite. De ma perspective, pour quelqu’un qui est à la recherche d’un travail, être contacté par Linkedin et que cela débouche sur un travail, cela aide beaucoup !
Le nombre d’heures est différent. En France, c’est 35h par semaine, généralement. En Allemagne, on est plutôt sur du 40h par semaine. Les salaires en France sont moins élevés qu’en Allemagne, mais les impôts le sont aussi. Pour les congés, chez Cotton Bird par exemple, j’ai découvert cette réglementation qui est apparemment nationale : on cumule tout d’abord un certain nombre de congés pour l’année suivante. C’est quelque chose d’assez compliqué car je découvre.
Toujours être ouvert d’esprit. On va découvrir des différences culturelles, peut-être même par rapport au vocabulaire qui va s’enrichir tous les jours. Pour ma part, cela fait 5 ans que je vis en France et j’apprends encore, c’est normal. Également, quand on ne comprend pas, ne pas hésiter à poser la question.
Forcément , par rapport à ma région, les lacs ! Mais c’est ce qui fait aussi le plaisir de rentrer chez soi, rendre visite à la famille et retrouver les produits régionaux.
Oui, je découvre le domaine de l’édition. C’est un travail qui m’a permis d’utiliser ma langue, je ne m’y attendais pas. On communique aussi un peu en anglais, comme on a encore des équipes à Budapest. C’est très enrichissant, parce qu’il y a beaucoup de choses à apprendre. Par exemple, nous avons une migration qui est en cours, donc un changement de logiciels, de site internet et tout ce qui en découle. C’est tombé au bon moment, j’apprécie beaucoup le statut, il y une équipe qui est très sympa, c’est au centre ville de Lille, j’en suis très contente!
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